mardi 30 décembre 2008

2009 tout neuf...2010 tout glisse...



Jonathan bonnave en skate a oloron ste marie nouveau teazer!!!!

jeudi 18 décembre 2008

High dolls et l'Opéra Pagaï à Jéliote


HIGH DOLLS
Marionnettes, gosses et rock’n roll - A partir de 8 ans
Création 2009/2010


La compagnie présente aux curieux de tous bords, ce vendredi 19 Décembre à 18h30 à l'espace Jéliote (entrée libre) , un aperçu de leur travail en cours autour de leur création "High Dolls". Actuellement en résidence à Jéliote, cette rencontre-tentative leur permettra de continuer à avancer dans leur création...

C’est un vrai concert de rock, avec un vrai Power Trio (guitare, basse, batterie) et de vraies chansons de rock (pas des comptines), écrites et interprétées par les mythiques High Dolls : un groupe de trois sales gosses d’une dizaine d’années chacun (à peu prés) qui se sont emparés de l’anticonformisme du rock pour exprimer leur point de vue de gamins sur le monde.
Ce concert-événement touche donc les enfants en particulier, mais pas seulement.
Qui, en effet, ne souhaiterait pas assister à l’une des trop rares apparitions de ces High Dolls si populaires, dont tout le monde parle ?
« Ça » bouge vraiment, « ça » chante vraiment, « ça » joue vraiment, «ç»’est criant (…) de vérité, mais « ça », ce sont des marionnettes !

Francis Cha, la droite, la gauche et le centre ?...

Le jeudi 18 décembre 2008 à la salle Louis Barthou
Organisé par l’association Trait d’union

Politique : la distinction droite gauche a t'elle encore un sens ?

A 18h30 par Francis CHA, professeur de sciences économiques et sociales.
Le monde change et pourtant les références idéologiques perdurent : libéralisme, socialisme, révolution... La conférence se propose de donner les outils d’analyse pour essayer de comprendre les enjeux du monde politique contemporain.

mercredi 17 décembre 2008

Oloron vue de 1771 par Robert de Hesseln

OLERON, petite ville ou bourg, avec un siège d'échêché, suffragant d'Auch, dans le Béarn, situé sur une éminence, avec une vieille tour, entre les 2 ruisseaux d'Osseau & d'Aspe, qui forment au bout de la ville le Gave, que l'on appelle Gave d'Oleron, à cause de cette ville : c'est le siège d'une Sénéchaussée, avec une recette particulière. On y compte environ 1000 habitans. Oleron est la dernière ville du Béarn.


Vue d'Oloron, dessin d'Alfred de Vigny (1797-1863)

Cette ville est partagée par le Gave d'Osseau en deux parties, dont la seconde est appelée Bourg Sainte-Marie. Son siège est connu des les premières années du VI siècle, & il est suffragant de l'archevêché d'Auch. L'évêque d'Oleron prend la qualité de premier baron du Béarn : Il jouit d'environ 13000 livres de revenu. La taxe en cour de Rome est de 600 florins. Sa juridiction peut s'étendre sur environ 280 paroisses ou annexes, tant du Béarn que du pays de Soule. L'église cathédrale est sous l'invocation de Notre-Dame. Son chapitre n'a qu'une dignité, qui est celle d'archidiacre, & 12 chanoines, selon quelques auteurs, & 6 seulement, selon d'autres; avec 8 prébendes, ou officiers du bas choeur; le tout très mal renté.
Cette ville fut autrefois beaucoup plus florissante par son étendue et par la richesse du commerce qu'elle faisoit en Arragon; mais ses facteurs et correspondans furent pillés & chassés de Sarragosse il y a près de 70 ans; ce qui a occasionné la ruine des commerçans d'Oleron. Cette ville est pourtant place de guerre, à la vérité de peu de conséquence. On ne laisse pas que d'y entretenir état-major, garnison, petit arsenal, & quelques pièces d'artillerie.
Elle est à 4 lieues de Pau, & à 185 de Paris.

ndlr: A l'époque, une lieue égale 4km

Dictionnaire universel de la France par Robert de Hesseln

mardi 16 décembre 2008

Comment la majorité veut museler le parlement...

L'objet porte le doux nom de «projet de loi organique visant à l'application des articles 34-1, 39 et 44 de la Constitution». Il a été adopté en conseil des ministres mercredi dernier et il est programmé pour le 16 janvier dans l'hémicycle, après un passage au canon en commission des lois le 7 janvier à 9 h 30.

Dans un jargon bien hermétique, trois articles de ce texte prévoient de retirer presque complètement le droit d'amendement aux députés et de limiter leur temps de parole. C'est tout simple, il suffisait d'y penser...

Cette note porte sur le droit d'amendement mais en appelle une seconde sur le temps de parole.

L'article 11 prévoit qu'après l'expiration des délais, sont «seuls recevables les amendements déposés par le gouvernement ou par la commission saisie au fond». Cela n'a – a priori – l'air de rien mais l'application de ces quelques mots est redoutable.

Pour le comprendre, il faut intégrer le fait que demain (c'est-à-dire à partir du 1er mars 2009), ne viendront en discussion dans l'hémicycle que les textes adoptés par l'une des 8 commissions permanentes de l'Assemblée.

Pour le moment, le premier débat a lieu au sein des commissions. Y participent les députés qui en sont membres mais aussi tous ceux qui peuvent être intéressés par le sujet. Par contre, seuls les premiers peuvent déposer des amendements. Ces suggestions de modification des textes sont discutées, votées et donc parfois adoptées y compris celles de l'opposition (si, si cela arrive...). Ensuite, le texte vient dans l'hémicycle, et là tous les députés peuvent déposer des amendements. S'en suit alors une discussion article par article, amendement par amendement. C'est un travail minutieux au terme duquel il est rare que le projet de loi ne soit pas enrichi avant d'être voté. Bien entendu, mais c'est la logique de la démocratie, la majorité garde le contrôle du résultat du vote final.

Demain, le premier -et en fait seul- débat aura lieu en commission dans les mêmes conditions. Par contre, dans l'hémicycle, les députés ne pourront plus amender le texte adopté par la commission. Et c'est là que réside l'inacceptable.



Car si tout est verrouillé pour les élus, le gouvernement reste par contre totalement libre. S'il a été battu en commission ou s'il n'accepte pas le travail de cette dernière, il pourra avant le passage dans l'hémicycle proposer une nouvelle écriture qui contredira le vote de la commission. Il pourra même déposer des amendements vidant de leur sens les enrichissements acceptés par les députés. Tout cela devant des parlementaires impuissants puisqu'il leur sera interdit de contre-attaquer en déposant de nouveaux amendements !

Un gouvernement tout-puissant n'acceptant aucune entrave, une majorité réduite au rang de faire-valoir et une opposition muselée, voilà concrètement la revalorisation du parlement façon Sarkozy !

Mais que l'on me comprenne bien, défendre le droit d'amendement comme je le fais ici n'est pas un combat d'un parlementaire pour les parlementaires. Derrière ce projet, c'est la possibilité pour les associations, pour les syndicats et pour les milliers d'acteurs de la vie civile de faire entendre leurs points de vue !

Jean-Jacques Urvoas, député PS Finistère

source

Bien comprendre les conséquences de la Crise en deux minutes seulement

vendredi 12 décembre 2008

Les raisons de la colère

Les raisins de table fortement contaminés par les pesticides.

Au cours du mois d’octobre dernier, cinq organisations environnementales, dont le MDRGF (1) et Greenpeace, ont acheté quelques 124 échantillons de raisins de table dans 16 chaînes de supermarchés, respectivement réparties en Italie, en France, aux Pays-Bas, en Hongrie et en Allemagne. L’objectif de cette opération était d’évaluer la teneur en pesticides des différents produits acquis, en les soumettant à un laboratoire allemand pour qu’il en analyse le contenu. D’un poids minimum d’un kg chacun, les échantillons en question sont majoritairement issus de cultures italiennes (62) et grecques (34) pratiquant une agriculture intensive.

Approuvés par le réseau Pesticide Action Network Europe (PAN), les résultats ont révélé que 99,2 % des raisins analysés étaient contaminés, soit 124 échantillons sur 125 testés.
Les analyses ont par ailleurs montré une tendance générale à la concentration de plusieurs pesticides au sein d’un même produit. Ainsi, deux pesticides et plus ont été retrouvés dans 97,6 % des cas, soit une proportion de 121 sur les 124 produits répertoriés. Or, ces cocktails peuvent conduire à des associations entre les différentes substances potentiellement toxiques, exposant le consommateur à un risque sanitaire accru. On estime qu’en moyenne chaque échantillon contenait 6,5 pesticides différents, un échantillon vendu en France arrivant en tête de liste avec pas moins de 16 pesticides distincts.

Sans surprise au regard des résultats divulgués, la Limite Maximale de Résidus (LMR) a été dépassée dans 6 cas. Selon le MDRGF, ce chiffre ne serait pourtant pas représentatif de la situation réelle, adouci par les nouvelles LMR européennes révisées en 2008 et jugées plus conciliantes. En témoignent les 64 pesticides différents détectés au cours de l’enquête menée, certains recelant des substances cancérigènes, neurotoxiques ou à l’origine de perturbations du système hormonal. Ainsi, l’insecticide « fenitrothion » présente un danger neurotoxique alors que le fongicide « folpet » est officiellement reconnu comme cancérigène par l’Union européenne. Tous deux ont été décelés sur des produits achetés en France, le fenitrothion présentant des niveaux 59 fois plus élevés que ce que la loi permet toujours selon le MDRGF.

La suite ici

Ma télé commande

Autant vous prévenir dès à présent, ce "documentaire" amateur dans son intégralité manque sans doute un peu de corps et de structure idéologique. Des questions essentielles, par le biais de larges extraits et donnant la part belle au Network de Sydney Lumet, sont quoiqu'il en soit mises en évidence, même si le fil de ce film se détourne parfois de la politique pour aborder les rives du sociétal, certes de très belle manière mais qui sont justement souvent récupérées par les politiques et l'entreprise médiatique pour façonner des opinions "à pas cher". Ce film utilise donc en partie les mêmes ficelles que les pratiques qu'il met en accusation. Sans parler du côté compilation de prêches interminables qui nous plonge malgré nous dans un univers très anglo-saxon. Il n'en demeure pas moins que ce montage soit essentiel à regarder et à faire diffuser par les temps qui courent...


vendredi 5 décembre 2008

Les Fantômes du fer...de la vallée d'Aspe

Voici la bande-annonce du film documentaire Les Fantômes Du Fer, tourné en 2007, achevé en 2008. Il parle d'une ligne de chemin de fer désaffectée qui traverse les Pyrénées entre Oloron-Sainte-Marie et Canfranc, en Espagne.

mercredi 3 décembre 2008

Aliments irradiés : l'envers du décor !


Présentation de l’ouvrage

L’irradiation des aliments est officiellement une technologie idéale au service de la sécurité sanitaire mondiale permettant d’éliminer des pathogènes responsables de millions d’infections d’origine alimentaire. Elle est souvent présentée comme une alternative bienvenue à l’usage d’autres dispositifs comme les produits chimiques (devenus interdits ou impopulaires parce que toxiques). C’est cependant - et surtout - une technologie multi usages (conservation, décontamination, ralentissement du mûrissement, inhibition de la germination) servant à merveille les intérêts de multinationales, répondant à des normes de gestion du risque calibrées pour la production et la commercialisation industrielle de masse à l’échelle mondiale. C’est ainsi un outil de domination économique stratégique.

Après la vache folle, à côté des pesticides et des OGM, l’irradiation des aliments… Dans cet ouvrage collectif, des scientifiques, écologistes, économistes, syndicalistes et consommateurs apportent leur regard sur l’irradiation des aliments et le contexte dans lequel son usage se répand. C’est en réalité un instrument méconnu - mais emblématique - de la mondialisation des échanges agro-alimentaires, sous influence pro nucléaire. C’est une technologie en plein développement au niveau mondial, encouragée par les institutions internationales et certains Etats malgré des conséquences sanitaires, environnementales et socio-économiques non négligeables.

Les risques pour la santé qu’elle induit et les conséquences socio-économiques et environnementales de sa prolifération ne sont pas anodins : perte de vitamines, risques de perturbations génétiques et d’apparition de tumeurs cancéreuses ; conséquences pour l’emploi et l’économie locale par la délocalisation des productions ; risques liés au fonctionnement d’installations et au transport de matières nucléaires, aux modes de production et de distribution industriels de masse (pollutions, changement climatique, atteinte aux milieux naturels et à la biodiversité).

Si nos institutions – mondiales, européennes et nationales – taisent ces enjeux sous couvert de « sécurité sanitaire » et de satisfaction de la demande des consommateurs, il revient aux citoyens de s’informer et d’agir…

Ouvrage coordonné par le Collectif français contre l’irradiation des aliments Avec les contributions de Geneviève Azam, Jean-Pierre Berlan, Roland Desbordes, François Dufour, Yann Fiévet, Thierry Folliard, Véronique Gallais, Wenonah Hauter, Christian Jacquiau, Guy Kastler, Paul Lannoye, Lylian Le Goff, Catherine Le Rohellec, Olivier Louchard, Gilles Maréchal, Yveline Nicolas, Christian Rémésy, Aurélie Trouvé, François Veillerette.

Plus d'informations : Ici

mardi 2 décembre 2008

Réveillon à Oloron : Soupe Solidaire à la crêperie Grain de Sel le 31 Décembre


Amies, amis, oignons, poireaux, carottes, navets, patates,
soyez les bienvenus dans la marmite solidaire du 31 décembre 2008, par ce que cette fête de tout temps est d'un ridicule absolu que tous les ans nous remettons ça
Alors, pour une fois c'est une soupe solidaire un vin chaud solidaire de la musique solidaire avec qui, avec eux, avec tous, nous finirons l'année ensemble.
JB

lundi 1 décembre 2008

Bien comprendre l'origine de la crise en 7 minutes seulement

Cela fait des semaines que l'on nous parle de la crise sans jamais parvenir à en expliquer les causes profondes.
Voilà qui est fait. C'est Pierre Larrouturou qui s'y colle.


La vie d'un jeune cadre 3D à Oloron

Petit film, qui se veut pédagogique, pour vous raconter ce que pourrait être la vie d’un jeune cadre grâce à l’Internet 3D (c’est à dire grâce à un Univers Virtuel qui pourrait être Second Life ou Open Sim).



Plus d'infos sur le site de Stonefield in world

Alain Rousset répond à Jean Lassalle

Alain Rousset, président du Conseil régional d'Aquitaine, répond à un courrier de Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques.

L'intégralité de la lettre sera postée dans les commentaires.

"Monsieur le Député-Maire,

J'ai hésité à répondre à votre courrier en date du 18 octobre tant vous êtes coutumier de ce genre de lettre ouverte où la polémique le dispute à la désinformation. Et vous venez récemment d'ajouter l'insulte.

Mais devant la réaction de nombreuses personnes (élus de toutes sensibilités, responsables professionnels, associatifs...) indignées par la façon dont vous traitez, à travers moi, l'institution régionale, j'ai tenu à répondre à vos assertions.

Dans l'exercice de mes responsabilités régionales (comme dans l'ensemble de mes responsabilités publiques), j'ai toujours privilégié l'action à la gesticulation, la construction à la plainte. De même, j'ai toujours tenu à assumer pleinement les charges que l'on m'avait confiées, sans jamais baisser les bras et sans rechercher à me défausser sur quiconque.

En pointant, un par un, les dossiers problématiques du Haut-Béarn et en désignant la Région comme la cause de tous vos maux, vous établissez, d'une certaine façon, le constat de votre impuissance et de votre absence d'anticipation.

Vous appartenez, depuis des années, à la majorité du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques, vous avez assumé régulièrement des responsabilités exécutives. Vous épauliez la majorité gouvernementale en tant que député, entre 2002 et 2007...

Pour l'ensemble des questions évoquées dans votre courrier, vous avez manifestement eu recours à la caricature, à l'approximation et aux contres-vérités et vous cherchez à chaque fois des boucs émissaires à votre impuissance. Pour ma part, je livrerai des éléments de réponse basés sur la rigueur et l'exactitude des faits.
(...)

Mélenchon: "Pour une Gauche de gauche, Républicaine, laïque intransigeante, unitaire et gouvernementale"

Deux jours avant le 29 Novembre, date du premier grand meeting de lancement à l'Ile Saint Denis du Parti de Gauche devant plus de 3000 personnes, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de l'émission Pluriel sur Radio Orient.