dimanche 25 mai 2008

Marc Oxibar sur l'UMPiste aux étoiles...

C'était en septembre 2007, et un pressentiment me guettait (lire l'article de vent d'Oc du mois d'Octobre 2007 ci dessous). L'homme de l'ombre à la soif de lumière ne pensait peut être pas à l'époque que son heure allait arriver plus vite que prévue. Le voici aujourd'hui après sa conférence de presse de la semaine dernière(sur laquelle nous reviendrons dans un prochain article), mis sur Orbite, lancé à fond les mannes nettes sur l'UMPiste aux étoiles, sous le feu des projecteurs de Sud-Rep, et plus que jamais sous le regard attentif de Décolorons !

Rencontre avec Marc Oxibar, directeur de cabinet du Maire d'Oloron, jeune loup de l'UMP, tout surpris et presque inquiet de nous voir débarquer chez lui à l'heure du Pastis-Cacahuète, pour un portrait du Moi version " Ensemble tout devient possible "…

Portrait du Moi
En Juin 1995, Marc n'a que 17 ans et quelques mois lui manquent pour pouvoir voter pour celui qui incarnait le changement et la rupture (sic) : Hervé Lucbéreilh.
Marc se souvient : "c'était le jeune qui pouvait tout changer, il aurait pu être de n'importe quel bord, je l'aurais quand même suivi". C'est le coup de foudre : "Son envie de faire, de dynamiser cette ville qu'il aime tant, de se battre pour elle", autant de qualités et d'affinités communes qui vont unir ces deux " acharnés " en un tandem de choc…

"Au lendemain de sa défaite, je suis donc parti le voir et je lui ai dit sans détour : j'aimerai travailler avec vous pour gagner les prochaines élections"

L'arrivée aux affaires…La machine de guerre est lancée, les réunions s'enchaînent de 1996 à 2001 tous les vendredi soir au QG chez "Mr Lucbéreilh”. En 1997, Marc s'engage chez les jeunes du RPR, monte un comité le soutien Jeune sur Oloron, noue des liens avec ceux du Parti Populaire à Jaca…

En 2001, face à une gauche divisée(pléonasme), Oloron bascule à droite et les affaires commencent… Marc apprend alors sur le tas son nouveau rôle : "je dois toujours être là, derrière le maire, dans l'ombre, préparer les dossiers, lui faciliter la tâche, jouer un peu au coach". La complémentarité de leurs tempéraments, un rythme effréné de travail, entraînent ces deux "drogués de la politique" dans l'euphorie de "l'événement au quotidien", slogan qui devient alors pour eux un nouveau mode de vie, non sans sacrifices… Mais le "je" en vaut la chandelle, car comme l'avoue Marc "la politique,c'est aussi un besoin de reconnaissance : j'ai envie qu'on m'aime".

Ce dont il est le plus fier, ce sont les visites de quartiers débutées en 2001: "ça a permis de rapprocher les élus, les services de la mairie et les citoyens, pour aller à la rencontre du terrain: les oloronais veulent qu'on s'occupe d'eux… ".Il pense aussi à ce qui a été fait pour les jeunes avec le Mac do, et ce qui se prépare pour l'avenir autour de la Confluence…

Conscient du travail réalisé et confiant pour les défis à venir, Marc pense déjà aux prochaines élections ("ça fait aussi parti de mon rôle de les préparer") en prenant soin de ne pas en dire plus sur d'éventuelles "envies de faire, de dynamiser cette ville qu'il aime tant, de se battre pour elle". Passer de l’ombre à la lumière pour qu’ensemble tout devienne possible, histoire d'écrire à son tour l'Histoire de sa ville…

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