lundi 31 janvier 2011

Régis BARBAU : « Les petites exploitations ont un mode de développement beaucoup plus durable, plus éthique »

Sociologue de formation, béarnais d'origine, Régis Barbau vient d'achever une étude de six mois commandée par le syndicat ELB. Il a produit un document sur l'utilité des petites fermes en analysant leurs atouts et impacts sur le territoire ainsi que les éléments qui les pénalise. Il nous résume son travail...

Quelle est la problématique sur laquelle tu as travaillé et pourquoi ce choix ?
La question de s’intéresser aux petites fermes est venue au sein de la commission sociale d’ELB. Après les crises de 2008 et 2009, la trésorerie des petites exploitations avait pris une gifle. L’importante perte de revenu faisait dire aux paysans « on souffre tous de la même maladie mais les petites fermes davantage ». Ces paysans d’ELB ont réussi à obtenir de la MSA des exonérations de cotisation sociale. C’est à cette occasion que l’argumentaire de la petite ferme a été mis en avant. La MSA en a demandé une définition. D’où le besoin de clarifier la question.

Cela a été ton travail…C’était l’un des objectifs du projet monté par AFI, l’Association de Formation et d’Information avec le groupe de paysans. Il s’est basé sur trois axes : définir ce qu’était la petite exploitation, analyser ce qu’elles apportent au territoire, parce que qui dit petites exploitations dit exploitations nombreuses, donc impact économique, social et environnemental sur le territoire, et enfin analyser l’environnement institutionnel et le contexte dans lequel évoluent les petites fermes, ce qui leur permet de se maintenir et ce qui les pénalise.

Comment as-tu mené ce chantier ?
La méthodologie a été simple : un groupe de 15 paysans était au cœur du projet, il s’est réuni une quinzaine de fois. A chaque fois, il fallait faire exprimer leur vécu, leur réalité, et l’étayer avec des éléments issus de travaux déjà menés sur le sujet. C’était un alliage entre expertise paysanne et expertise scientifique. Le but étant de produire un argumentaire de défense des petites exploitations, un objectif militant pour aller rencontrer ensuite les institutions.

Quelles réponses avez-vous apportées à vos questionnements ?
Il est difficile de définir la petite exploitation car il y a une grande diversité de situation. C’est ce que disent aussi tous les travaux sur le sujet. Au travers des enquêtes sociologiques nationales et des témoignages des paysans du groupe, on peut dire néanmoins que les petits paysans ont souvent des valeurs et des pratiques en commun, comme l’attachement à l’héritage culturel, le sentiment de proximité avec la nature, l’autonomie ou la liberté par rapport aux filières. Ça fait qu’ils ont un impact particulier sur le territoire. Par exemple, de façon indéniable, beaucoup de petites exploitations sur un territoire (c’est souvent le cas en montagne et en zone défavorisée) signifie le maintien de la vie sur ces territoires en difficulté démographique, cela crée de l’emploi agricole et des emplois induits, on veut garder son voisin pour garder une cohésion sociale, maintenir les services…

Cela se vérifie au Pays Basque…Le rôle joué par la dynamique locale est important. Tous les dispositifs tels que les AOC, Idoki, les actions du GFA etc incitent à être nombreux et favorisent les petites exploitations qui y sont fédérées. Le groupe sent ici une dynamique collective qui leur permet de faire de la valeur ajoutée, d’être partenaire et non concurrent.

Le profil agricole de ces petites fermes est également différent ?
Souvent les petites exploitations gèrent leur structure en jouant sur les marges, en minimisant les charges et maximisant la qualité. Elles emploient donc moins d’intrants. Les études manquent sur ce point mais c’est logique. Le capital est également plus restreint, cet investissement de départ moindre permet une plus grande transmissibilité de ces fermes. C’est un point que l’on est en train d’étayer de façon chiffrée. Tout comme on peut montrer qu’elles ne sont pas forcément moins productives : des rapports de la Banque Mondiale et de l’Inra le disent : la plus grande productivité des grandes exploitations vient du fait qu’elles reçoivent plus d’aides. Il n’y a pas à rougir d’être petit.

Ton travail a également souligné un impact environnemental…
En effet, du point de vue du paysage et de la biodiversité, les petites exploitations entretiennent la moindre parcelle car elles en ont besoin. C’est important pour l’ouverture de l’espace et la préservation du paysage. La tendance générale est à l’abandon des parcelles les moins productives pour intensifier les plus proches de l’exploitation. Les petites fermes ne peuvent pas se le permettre.

Beaucoup d’atouts mais la réalité des petites fermes est pourtant très dure…Oui. D’abord l’environnement social joue. Les petits se font souvent narguer par ceux qui ont une production bien plus importante, ils passent pour des ringards car ils ont souvent un matériel ancien. Cela conduit souvent à décourager les enfants de s’installer. L’amont et l’aval défavorisent aussi les petites : les fournisseurs font les prix de gros aux gros. Enfin, les investissements pour se mettre aux normes demandent proportionnellement plus d’effort aux petits. Ceux qui mettent en œuvre des stratégies de spécialisation dans les produits de qualité, la transformation, ont plus de chances de s’en sortir. Pour cela, il faut un bon capital de départ, économique bien sûr mais aussi social et matrimonial car c’est souvent la famille et les amis qui donnent un coup de main, aident à tisser le réseau de clients, etc.

Les facteurs externes interviennent aussi ?
Oui, les politiques européennes (aides du premier pilier) jouent beaucoup. L’encouragement à l’extensification entraîne la quête de terres que l’on trouve chez les plus fragiles. Les aides du second pilier ont aussi un effet pervers car pour être dans les clous de la PHAE, de l’ICHN, on va aussi chercher à s’agrandir. Enfin il y a l’échelle des structures et des institutions agricoles qui ont une certaine représentation de ce que doit être une exploitation viable. Même au Pays Basque, où il y a beaucoup de petites exploitations, on voit que la lutte est permanente pour réaffirmer que les petites exploitations peuvent être viables sans forcément faire des investissements colossaux. Il y a une sélection implicite des exploitations légitimes.

Quelles vont être les conséquences concrètes de cette étude ?
L’étude démontre que les petites exploitations représentent un mode de développement beaucoup plus durable, plus éthique et il y a beaucoup de chose à défendre là. Il faut donc formuler des propositions. C’est ce qui reste à faire au groupe de paysans. Par exemple, vis-à-vis de la MSA : le calcul des cotisations sociales est perçu comme très inégalitaire, il se base sur un plafond minimum de 800 SMIC horaires alors que le revenu est loin d’arriver à ce niveau sur les petites exploitations (le revenu moyen des exploitations au forfait en 2007 était de 5727€). Il faudra aussi proposer des mesures tant au niveau européen qu’à celui des collectivités locales. Il existe des mesures de développement rural intéressantes en Rhône Alpes ou Nord Pas de Calais. Il faudra taper à toutes les portes pour sortir de la seule vision de l’agriculture et insister davantage sur le concept de multifonctionnalité.

Personnellement, qu’est ce qui t’as le plus marqué durant ces six mois en Pays Basque ?
J’ai été très agréablement surpris par la mobilisation qu’il y a ici. Les paysans ont été très assidus aux réunions alors que le travail était parfois fastidieux. J’ai vu la vie d’un syndicat de l’intérieur. C’est quelque chose de très organisé, de très fédéré, ce que je n’avais jamais vu chez moi. Il n’y a pas beaucoup d’actions collectives en vallée d’Ossau. C’est ce qui m’a le plus marqué. Je ne sais pas si les paysans d’ici se rendent bien compte de cette chance. Si on mesure bien ce n’est pas banal du tout. Certains diront « ah oui, c’est le Pays Basque ». Mais ce n’est pas la magie de la culture basque qui fait cela, mais plutôt le fait que des gens savent faire ensemble.


interview par Maritxu Lopepe

mardi 25 janvier 2011

POUR LE DROIT A UN HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN !



APPEL A SOUTIEN POUR LE DROIT A UN HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN !

POUR LE DROIT DE VIVRE ET TRAVAILLER LOCALEMENT !

LEA ET TOM CONDAMNES PAR L’ÉTAT A DEVENIR DES SDF En pleine crise du logement ! En pleine crise économique !

L’audience en appel est fixée au 17 février prochain ! (Toulouse)

La situation du logement en Ariège est catastrophique ; impossible de trouver des locations dans le département ; alors que les zones rurales se désertifient, les touristes dont beaucoup d’étrangers, Anglais, Allemands, Hollandais, font main basse sur l’immobilier.

Des jeunes qui ont choisi de vivre en milieu rural, donc qui revitalisent les campagnes ! Des jeunes fortement impliqués dans une démarche d’habitat écologique et de préservation de la nature, Ont été CONDAMNES par l’ÉTAT devant le Tribunal Correctionnel de Foix à la DESTRUCTION DE LEUR HABITAT, une amende de 600€ et 10€ par jour de PÉNALITÉS de retard.

Leur DÉLIT : avoir choisi d’habiter une tente (une yourte) plutôt que de crever de froid dehors ! Ils ont comparu en première instance le 9 février 2010 suite à une plainte de la DDEA* (un service public !), sur le fondement d’articles du code de l’urbanisme pour infraction au permis de construire. Ils font APPEL et réclament la RELAXE et le droit à un habitat MODESTE ÉCOLOGIQUE ET CHOISI ! le droit de vivre, le droit de travailler localement !

Faute de trouver un logement, Léa et Tom qui VIVENT et TRAVAILLENT en Ariège, décident en 2007 de s’installer sous une tente, une yourte. Un propriétaire toulousain leur prête son terrain en friches au milieu des bois en échange du défrichage et de l’entretien de la parcelle. Ils fabriquent une tente toute ronde, une yourte en laine et en bois ; ils confectionnent le feutre à la filature de Belvès en Dordogne ; les perches de châtaignier sont locales ; un maître menuisier façonne le cercle de toit, pièce maîtresse... Outre l’entretien de la parcelle, ils mettent en valeur le lieu, créant des terrasses pour cultiver un potager et un jardin d’agrément... Cela a représenté un long travail de plusieurs mois avec un bilan plus que positif : la création d’un habitat bien intégré au paysage, avec un impact écologique nul ou quasi-nul sur un site dont la biodiversité a été recréée (les orchidées repoussent sur le terrain !).

Tom et Léa ont fait le choix de vivre là et de travailler dans la région alentour, modestement, de façon écologique et dans le plus grand respect de la nature. Ils sont bien intégrés localement : accueillis et soutenus par le maire et les habitants de la commune, ils se sont inscrits sur les listes électorales et ont demandé à payer les impôts locaux. Les habitants de la commune les soutiennent depuis le début, une motion pour le droit au logement a même été votée par le conseil municipal en réaction aux injonctions de la DDEA*.

Mais c’est sans doute trop beau ! Il faut s’acharner à détruire ces
initiatives (CQFD) ! C’est ce que vont faire les services publics d’État, en l’occurrence la DDEA* qui fonde sa plainte sur le Code de l’urbanisme au prétexte de la nécessité d’un permis de construire alors que la yourte n’est pas une construction, ce n’est pas un immeuble, ce n’est pas un bâtiment en dur avec des fondations ! Il n’y a pas de murs... C’est une TENTE en laine et bois ! Donc un habitat réversible qui ne laisse aucune empreinte durable sur le sol. On ne construit pas une tente, on ne détruit pas une tente : on monte et démonte !

D’ailleurs, il existe un vide juridique concernant cette forme d’habitat qui n’est pas prévue dans ledit code de l’urbanisme. On demeure pantois devant l’acharnement des services publics dans ce dossier, « quand on connaît ce que peuvent être par ailleurs les infractions au code de l’urbanisme » !…

Inouï le sort réservé aux élus locaux des petites communes rurales! Le jugement rendu ne tient aucun compte de la position du maire de la commune, de son conseil municipal et des habitants. Qu’en est-il de la décentralisation ?
Qu’en est-il de la REVITALISATION DES ZONES RURALES ? Qu’en est-il de l’ÉQUITÉ TERRITORIALE !

Ce dossier pose le problème du DROIT AU LOGEMENT, en particulier du droit des personnes aux revenus modestes dans un contexte de crise économique grave. Non seulement le montant des loyers est prohibitif jusqu’à constituer plus de 50 % des revenus des plus modestes d’entre nous mais dans certaines zones dédiées au tourisme comme en Ariège, il est IMPOSSIBLE de trouver à se loger… Qu’en est-il du DROIT AU LOGEMENT ?

Il pose aussi le problème du DROIT AU TRAVAIL, du droit à s’abriter quand on participe à la richesse locale par son travail : comment occuper des emplois, être flexible, mobile… comment créer une activité… si on n’a pas de TOIT pour s’abriter et autour duquel rayonner ?

Des jeunes qui choisissent de vivre en respectant leur devoir en matière d’écologie et de préservation de la nature sont sanctionnés et condamnés par l’État en Correctionnelle comme des délinquants au lieu d’être encouragés pour ces initiatives !

Alors, il faut rappeler à l’État les obligations qu’il a lui-même fixées en matière de DROIT au LOGEMENT et d’ENVIRONNEMENT !

JUSTICE POUR LEA ET TOM EN APPEL, ILS DOIVENT OBTENIR LA RELAXE ! ET LE DROIT DE VIVRE DANS LEUR YOURTE HABITAT CHOISI MODESTE ÉCOLOGIQUE ET CITOYEN

MERCI DE LES SOUTENIR en signant et diffusant largement la pétition

Pour en savoir plus:

-www.halemfrance.org
-www.ldh-toulon.net
-http://clej.blog.free.fr
-http://yurtao.canalblog.com

vendredi 21 janvier 2011

Bizitoki ikastola, une nouvelle école, un lieu de vie, un projet éducatif dans un projet de vie...



Bizitoki ikastola
une nouvelle école, un lieu de vie
un projet éducatif dans un projet de vie

parler la langue basque / enfants épanouis / parents impliqués / recherche pédagogique / embellir la vie / éduquer sans récompenses / au contact de la nature éduquer sans punitions / accompagnement personnalisé / générosité / autodiscipline
équilibre écologique / amitié / expériences tâtonnées / expression des sentiments liberté d'expression / partager / esprit critique / choisir ses activités / enfants autonomes / éducation sensorielle / heureux comme un enfant qui peint/

Tout sur le projet Bizitoki dans www.bizitoki.org

Réunions publiques de présentation , à 20h:
Vendredi 11 février, chez Doxpi, place du marché, Ezpeleta.
Jeudi 17 février, Eusko Ikaskuntza, 51 quai Amiral Jaureguyberry, Baiona.
Vendredi 18 février, bar Xuriatea, 4 r Francis Jammes, Hazparne.
Samedi 19 février, Begiraleak, villa Ducontenia, av A. Ithurralde, D. Lohizune.
Jeudi 24 février, bar Kalaka, 1 pl Trinquet, Donibane Garazi.
Vendredi 25 février, bar Zinka, 18 r Victor Hugo, Maule.
Samedi 26 février, Maison des Services Publics, bd de la Madeleine, Donapaule.

Pétition du CODE BEARN pour une vrai réflexion sur les déplacements en Béarn



Préambule
Le « syndicat mixte pour l’étude de la liaison routière Pau Oloron », porté par le conseil général et les communautés de communes de Pau, Oloron et Lacq, a décidé d’engager l’argent public à hauteur de 4 Millions d’Euros pour une étude technique opérationnelle ne comportant qu’une seule hypothèse : la reprise du projet autoroutier A650 annulé par l’Etat à la suite du Grenelle de l’environnement et recyclé en voie rapide départementale avec tunnels et péages. Les autres liaisons existantes ou possibles (la RN 134, le TER Pau Oloron puis Bedous et Canfranc) ne sont pas prises en compte dans l’étude. Comment dans ces conditions valider un projet ?

Ce projet est estimé au minimum à 285 Millions d’Euros.
Son utilité pour les habitants et le développement économique du territoire est contestable. Son impact environnemental négatif est évident.

L’effort financier sera tel que tous les autres projets alternatifs (voies routières secondaires, développement des transports collectifs rail et route, …) seront asphyxiés économiquement et dans le meilleur des cas reportés dans le temps. Les projets de construction d’infrastructures lourdes doivent s’appuyer sur une vision à long terme de l’aménagement de notre territoire et des modes de circulation adaptés à l’évolution de la société.


Engagement


Par notre signature nous faisons savoir à nos élus du conseil général et des communautés de communes associées que :

Nous n’acceptons pas que le syndicat mixte ait pour unique objet l’étude de faisabilité opérationnelle d’une voie rapide Poey de Lescar Gurmençon (ex A650). nnelle d’une voie rapide Poey de Lescar Gurmençon (ex A650).

Nous voulons que d’autres alternatives pour relier Pau à Oloron soient étudiées pour répondre aux besoins de déplacement des habitants entre Pau et le Haut Béarn :

•L’aménagement (pas une simple sécurisation) de la RN 134 pour en faire la liaison routière la mieux adaptée afin de relier ces deux villes,

•L’amélioration de l’offre ferroviaire Pau-Oloron (cadencement, fréquence, modernisation,…).

Signez la Pétition

lundi 17 janvier 2011

Soirée Blues Rock à Issor le 29 Janvier !



Le collectif FMR et le comité des fêtes d'Issor sortent leurs blousons noirs pour proposer une soirée blues-rock qui marquera à n'en pas douter l'histoire culturelle barétoune.

Dès 21h les bords du Lourdios vont prendre des allures de Woodstock avec une scène ouverte aux jeunes talents du Barétous et d'ailleurs. Selon nos sources, une première serait en préparation du côté d'Arette, Wikileaks (pour ne pas les citer) auraient aussi intercepté un fil diplomatique ébruitant la venue de rockstars basco-béarnaises.

A partir de 22h30, retour aux sources du blues-rock avec les incontournables Bad to the Bone. La performance qui se prépare est un savant mélange de compositions originales et de titres cultes de BB King, Johnny Winter, ZZ Top, Stevie Ray Waughan... mitonnés à la sauce BAD... Bref, attendez-vous à du « Rock-Blues aussi savoureux qu'un whisky hors d'âge... » BTB
Ne ratez pas la date car le trio Lot et Garonais entame en Barétous une tournée internationale pour le promotion de son nouvel opus Too bad to lose.

La dernière partie de soirée sera assurée par le groupe Paradox. Sur les routes depuis plus de vingt ans et pour une fois à la maison, ils n'auront qu'un pas à faire pour régaler leurs voisins de leur Rock'n Roll 100% pur jus...

lundi 10 janvier 2011

Réunion d'information/échange sur la Pau-Oloron



Collectif pour les Déplacements en Béarn

Le comité Aspe-Oloron vous invite à une Réunion publique d’information sur le projet de route Poey de Lescar-Gurmençon.

Le projet de route dite « Pau-Oloron » est relancé !!
Pour qui ? Pour Quoi ? A quel Prix ? …

N’y a-t-il pas de meilleur choix à faire pour répondre aux problèmes de transport et de déplacements du Haut-Béarn ?

Venez vous informer et débattre de ce projet qui nous concerne toutes et tous.

JEUDI 20 janvier 2011 à 20h30
Mairie d’Oloron, Salle du Conseil Municipal